elodie hesme / john mamann
Dans le sillage de son parfum
J'aurais pu la suivre des heures
Aujourd'hui elle me vole le mien
Quel bonheur
Quelques fils d'argent viennent trahir
L'insolence de ses cheveux noirs
Elle ne cherche plus à rajeunir
Quel plaisir
Ya moins d'efforts sur la longueur
Elle laisse aller sa vraie nature
Ca m'bouleverse toujours quand elle pleure
Ca c'est sûr
La huitième merveille du monde
C'est une comtesse aux pieds nus
Une déesse tombée des nues
C'est toutes les femmes en une seule femme
La huitième merveille du monde
C'est une comtesse aux pieds nus
Une déesse tombée des nues
C'est toutes les femmes en une seule femme
Et quelle femme
Cette femme
Les cinq étoiles s'ouvrir la porte
Dans les ambiances chaudes et feutrées
De nos caprices payer la note
J'ai aimé
Et plus tout envoyer valser
Les bonnes manières et le bitume
Courir les terres inachevées
Qu'elle parfume
Mais là où elle me désarçonne
Là où je tombe à genoux
C'est que plus rien ne l'impressionne
A part nous.
La huitième merveille du monde
C'est une comtesse aux pieds nus
Une déesse tombée des nues
C'est toutes les femmes en une seule femme
La huitième merveille du monde
C'est une comtesse aux pieds nus
Une déesse tombée des nues
C'est toutes les femmes en une seule femme
La huitième merveille du monde
C'est une comtesse aux pieds nus
Une déesse tombée des nues
C'est toutes les femmes en une seule femme
Et cette femme…
Cette femme
C'est la mienne